Mais malheur de malheur ! Les Killers sont tombés dans le piège de la surenchère, des sonorités faciles et des clichés qui ont justement fait rigoler la moitié de la planète à la fin de l'époque new-wave : synthés trop en avant, chant trop emphasé, choeurs itou, et en plus sur cet album, ils ont délaissé le côté Bowie pour un côté pompier atroce, toute la fin de l'album ressemble à du Queen !!!
Bon, soyons honnête, malgré ma grosse déception, il y a quand même 3 ou 4 titres qui surnagent de l'ensemble, aussi je mettrais un bémol à cette chronique, en concluant par : vivement le troisième album pour voir s'ils ont compris qu'ils se sont trompés, ou s'ils persistent et signent.
En écoute : Uncle Johnny.